Mais plus impressionnantes encore sont les températures nocturnes aux endroits exposés. [CDATA[*/function redirectPosition(position){jQuery.get({url:'https://www.meteobelgium.be/jsonservice/forecast_v11.json.php?key=e483561e91d634d10dc33a6d921084d2&lang=fr&light=1&lat='+position.coords.latitude+'&lng='+position.coords.longitude,dataType:'json',cache:false,success:function(data){var zone=data['zone'];var today=zone['today'];jQuery("#location-cpost-position .city").html(zone['city_short_desktop']);jQuery("#location-cpost-position").attr("href",zone['link']);jQuery("#location-cpost-position").attr("title",zone['city']);jQuery("#location-picto-position").attr("src","/staticfiles/images/picto/v2/wc/"+today['pictoprefix']+'/'+today['symbol_file_now']);jQuery("#location-temp-position").html(today['temp']);}});} Le 1er décembre 1984 a même été une journée extrêmement douce. À surveiller…. On observe de belles éclaircies entre deux perturbations, suivies d’un ciel voilé de cirrostratus en après-midi. Là, à l’exception de quelques altocumulus le matin, le ciel est resté serein, mais sous une brume sèche tenace, persistant toute la journée. Ce jour-là, la couche de neige est encore de 7 cm. Après les nimbostratus du matin, la couche nuageuse se déchire, les stratocumulus se muent en cumulus, puis le ciel se dégage. Seulement, ils ont souvent été en sens opposé et se sont compensés les uns les autres. La nuit, les températures ont été à nouveau extrêmes : –22,4°C à Rochefort et –16,8°C à Beauvechain. La dépression et la perturbation s’évacuent à nouveau vers le sud tandis qu’une vaste zone anticyclonique, à l’ouest de nos régions, commande un flux de nord, nous amenant toujours de l’air polaire maritime. À ce stade, c'est surtout la Scandinavie qui en est concernée. Le ciel est d’abord couvert de stratocumulus, parfois doublés de cumulus, puis cela se déchire avec des cumulus et quelques altocumulus. Des chutes de neige un peu plus abondantes au littoral redonnent 3 cm de neige le soir à Middelkerke. Plusieurs autres inversions se trouvent à des niveaux supérieurs, preuves d’une grande discontinuité dans l’atmosphère, avec l’air vraiment doux rejeté à 3 500 mètres d’altitude. 2. À Uccle par exemple, la température est descendue jusqu’à –16,8°C ! Hiver 1962-63: 84 centimètres, un record . Une grosse décennie plus tard, notre pays connaîtra encore un épisode froid très intense, mais bref, durant l’hiver 1996-97. Mais là, on est en plein été ! En fait, deux poches d’air extrêmement froid ont été observées, l’une au sud-ouest du pays et l’autre, au centre-est du pays. Au niveau 850 hPa, la température a quelque peu baissé (3°C à 1 390 mètres), ce qui confirme l’instabilité. La dépression précitée se déplace lentement vers le sud, tandis qu’une imposante crête anticyclonique, soutenue en altitude, se bâtit à l’ouest de nos régions, de l’Espagne jusqu’en Islande, puis jusqu’aux îles Spitzberg. En journée, les températures sont assez variables aussi, autour de –4 ou de –5°C en de nombreux endroits, mais localement, ces maxima ne dépassent pas –8°C. Aujourd’hui, il fait à nouveau dans les 10°C, tant à Bruxelles que partout ailleurs en Basse et Moyenne Belgique, et le vent est fort, soufflant d’ouest, puis de sud, puis à nouveau d’ouest. Là, en raison d’un dégel temporaire la nuit (+3,8°C à 1 h avec un vent de 37 km/h d’ouest-nord-ouest), la neige a en grande partie fondu. Notre pays reste encore dans les courants d’est grâce à des dépressions qui circulent au sud de nos régions, mais la lente remontée des centres d’action vers le nord coupe l’arrivée d’air froid. La neige est magnifique ! La température au niveau 850 hPa (1390 m), encore de –5°C à 12h, descendra jusqu’à –7°C à minuit. Le ciel est souvent très nuageux avec des cumulus et des stratocumulus, mais aussi des cumulus congestus et des cumulonimbus. On se réveille, il fait déjà 6°C et on observe encore 14 cm de neige, bien blanche ! À Coxyde par contre, la neige résiste mieux, notamment grâce à de nouvelles chutes de neige, et se maintient à 15 cm. Moerbeke (Flandre orientale) est descendu jusqu’à –17,0°C pendant que Koersel (Limbourg) est descendu jusqu’à –18,0°C. Dommage qu’il ne neige pas, cette fois-ci. À Spa aussi, on observe temporairement des pluies verglaçantes et c’est l’une des très rares fois qu’on aura plus de neige en région bruxelloise que dans les Hautes Fagnes ! À Saint-Hubert, la neige résistera mieux, avec 26 cm le matin et 23 cm le soir et mettra plusieurs jours à fondre. Plus tard, en soirée, ces précipitations se transformeront temporairement en neige avant de redevenir de la pluie et de la bruine, toujours se congelant au sol. Les paramètres principaux sont tous normaux. Avec, à Uccle, une température moyenne de 2,4°C, un total de précipitations de 188,2 mm et une insolation de 194h10 (héliographe classique), on peut juste dire que l’hiver a été un rien trop froid, un rien trop sec et un rien trop ensoleillé. Pourtant Mont-Rigi, station présentant des caractéristiques presque similaires, est descendue jusqu’à –22,2°C ! À Beauvechain, le minimum nocturne est descendu à –13,4°C et la température, à 7 heures, était à –10,4°C. La neige, quant à elle, sera peu épaisse mais persistera longtemps au sol, avec 4 à 5 cm au centre du pays. Seules les Hautes Fagnes auront un hiver de qualité supérieure en 1985-86, en raison d’un enneigement très important (mais limité aux hauts plateaux) et de températures très basses en février. Au sol, les circulations se ferment davantage, avec un anticyclone au sommet de la crête d’altitude, entre l’Islande et la Norvège, tandis que diverses dépressions se sont formées au sein des creux. Des endroits encore plus froids ont été Koersel (–23,0°C), Brustem (–23,0°C), Ciney (–24,1°C) et surtout Rochefort (–25,4°C). Ce front est reconnaissable, l’après-midi, aux altocumulus et altostratus opacus que l’on peut entrapercevoir là où les stratus (ou stratocumulus) se déchirent. En tout cas, la chute de température est spectaculaire ! Il fait tellement sec que la neige se sublime, sans fondre. Certains d’entre eux sont essentiels au fonctionnement du site et d’autres nous aident à améliorer ce site et l’expérience utilisateur (cookies traceurs). Le « nez » de l’inversion se situe par ailleurs à 1180 m, avec –3°C. Neige et froid, surtout en janvier, après pourtant un début très doux. Le flux de sud-ouest s’est décalé vers le sud sous la poussée de l’occlusion, qui s’est véritablement transformée en front froid. En de très rares occasions seulement, comme par exemple en décembre 1879, février 1895, février 1901 ou janvier 1940, on a enregistré des températures plus basses encore en Belgique, avec respectivement –26,1°C à Lamorteau (près de Virton), –29,8°C à Ville-du-Bois (Vielsalm), –29,5°C à Bernistap (près de Houffalize) et –30,1°C à cette même station de Rochefort. Seuls le littoral et l’Ardenne connaîtront des précipitations plus abondantes, mais dans la première région, les températures (2 à 3°C) sont encore trop élevées pour un enneigement digne de ce nom. Le paysage est toujours bien blanc, 7 cm de neige le matin, 4 cm en soirée. Le retour des stratus en deuxième partie de nuit limite la poursuite du refroidissement nocturne. Le ciel s’est couvert en plus. Mais la situation atmosphérique, surtout durant la deuxième décade du mois, a déjà été assez particulière, avec de nombreux retours d’est et un vent souvent pénétrant de nord-est. Il s’agit là d’une séparation très nette entre l’air doux et l’air froid, qui rappelle un peu ce qui s’était passé durant l’hiver 1978-1979…. Un anticyclone sur la Scandinavie, avec un second noyau sur les îles Britanniques, et une dépression sur l’ouest de la Russie (Union Soviétique à l’époque) deviennent les acteurs principaux pour le temps sur nos régions. L’hiver 1981-1982, à première vue, ne sort absolument pas du lot. Ce temps clair et calme concerne tout le pays et le froid par rayonnement nocturne devient très intense par endroit. Les Hautes Fagnes sont restées enneigées pendant tout le mois, et la couche est montée jusqu’à 56 cm du 26 au 29 décembre tant au Signal de Botrange qu’à Mont-Rigi. À l’intérieur des terres, le dégel ne se manifeste toujours pas. Après, il faut monter jusqu’à 2 500 mètres environ pour retrouver l’isotherme de 0°C. Le ciel est couvert d’un épais nimbostratus, à l’allure uniforme et blanchâtre en raison de la neige, et le vent de sud-ouest soutenu donne à cette journée un caractère particulièrement hivernal. Très fortes inversions donc. Seules quelques stations enregistrent encore des valeurs fort basses, comme Beauvechain avec –14,3°C, Asse (près de Bruxelles) avec –13,8°C et Zaventem avec –12,6°C. Le ciel se couvre à nouveau, avec des stratocumulus, des altocumulus puis des altostratus. Herve, Botrange, Mont-Rigi et Libramont, avec environ –8°C, n’ont pas connu de températures extrêmes non plus, et même des lieux habituellement très froids comme Rochefort se sont « limités » à –17,0°C. Il est cependant intéressant de revenir sur la matinée, car au moment où la température était déjà descendue entre –5 et –7°C dans la bande côtière, l'air effectuait encore un certain parcours sur l’eau (vent de nord-nord-est à nord-est). Il y aura la poursuite d’un temps encore froid, mais plus nuageux jusqu’au 23, avant l’arrivée d’une brusque bouffée d’air très doux les 24 et 25. Mais une bonne heure plus tard, plus ou moins au moment du lever du soleil, la température a plongé jusqu’à –21,7°C !!! Pourtant, des ventres sont vides et des gens vont encore mourir de faim et de froid… Les Wallons déposent, par l’entremise d’un politicien, une proposition sur la pauvreté en Europe au Parlement Européen à Strasbourg. Notons enfin, pour clore ce long commentaire sur les températures minimales, que la température est descendue jusqu’à –15,0°C à l’aéroport de Middelkerke (à un petit kilomètre de la mer), mais seulement jusqu’à –9,5°C au bout de l’estacade du port d’Ostende. En février 1985, la «neige du siècle» paralyse Genève Il y a trente ans, une couche de plus de 50 centimètres de poudreuse a recouvert toute la région. En soirée, il se remet à neiger, ce qui à première vue pourrait faire croire à une poursuite de l’hiver. Le ciel est couvert de nimbostratus (et temporairement d’altostratus translucidus), sauf en fin de journée, quand il s’arrête de neiger. À Uccle, la couche de neige est restée très fine, mais a persisté de façon presque constante pendant 16 jours en raison du froid. ? Le vent souffle de sud-ouest à ouest avec des températures de 6 à 7°C. Dans les semaines qui suivent, les températures baissent certes un peu, mais l’on peut toujours parler d’un « petit » temps hivernal doux et bien belge, avec une circulation d’ouest tantôt teintée de hautes pressions, tantôt influencée par des basses pressions avec le passage de perturbations actives. Le responsable en est… un front froid !

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