Foule immense. C'est la dernière !" A Vervant, le 02 novembre 1840, tue l'enfant nouveau-né de sa fille Marie en l'étouffant à lui briser les os. Le nommé Julien, mineur, suspecté de complicité, est acquitté. Sa femme Adèle Quennehen, épouse Testu, est acquittée. Sa précipitation à identifier une dépouille en décomposition et méconnaissable le rend suspect. Augustine Castel, 16 ans, est condamnée à dix ans d'enfermement dans une maison de correction. Jean Gadrad, 24 ans, est condamné à quinze ans de prison. Pour raisons d'interêt, le 20 janvier 1849, abattit à coups de pistolet son fils François, 33 ans, cultivateur, son gendre Constant Poisnel, 26 ans, tisserand, et tenta d'assassiner sa bru. Et puis, je n'ai besoin de rien." Cache le corps dans un tonneau qu'il entrepose dans une cave. Quittent la prison à 8h10 dans un omnibus en compagnie de l'aumônier Diemer, du greffier et de six gendarmes. 43 ans, laboureur et 26 ans, marchand de bestiaux. Grimpe à l'échafaud, entend la lecture de l'acte de condamnation, mais poussé sur la bascule, cherche à se rejeter en arrière et doit être maintenu pour que sa tête passe dans la lunette. Doit à nouveau se battre quand elle reprend ses esprits et cherche à échapper à la mort en s'agrippant à tout : en vain, elle est précipitée dans le puits, profond d'une trentaine de mètres. Quand vient l'heure de partir, se met à pleurer et demande ce qu'il va advenir de son fils de 3 ans. Fils de bagnard, lui-même condamné en 1832 à cinq ans de bagne et en 1838 à vingt ans de bagne, peine purgée à Cayenne. puis supplice le prêtre de l'accompagner : "Mon ami, mon seul ami, ne m'abandonnez pas encore dans ce dernier moment, vous seul pouvez me soutenir jusqu'au bout." Tue le 28 décembre 1864 à Chambon sa mère, Anne Requille, 56 ans, de trois coups de bûche sur la tête, vole 14 francs et jette le corps dans la fontaine du village. Quitte la prison juste avant 7 heures. 34 ans. Il survit une nuit entière à ses blessures. Condamné en 1862 pour vol qualifié à douze ans de travaux forcés. Son frère et complice Joseph, 32 ans, laboureur, est condamné aux travaux forcés à perpétuité. Quand les exécuteurs arrivent, dit au prêtre qui l'incite au courage : "C'est un grand malheur, je n'avais pas le caractère méchant." Ancien homme de confiance - et de facto maître du manoir par son ascendant sur la famille -, il n'avait pas supporté d'être mis à l'écart des responsabilités de la propriété par le mariage de Marcellange avec Théodora de la Roche-Négly. A Châtenay, arrivent devant une prairie communale où l'échafaud est dressé. Comme il perd un chausson et qu'on veut le lui remettre, il dit : "Ce n'est pas la peine, ça durera assez longtemps !" 42 ans, valet de charrue et 55 ans, charron. Exécuté par les bourreaux de Caen, Alençon et Coutances sur les promenades Saint-Julien. Soutenu jusqu'à l'escalier devant une foule muette. Que mon sort vous serve d'exemple ! Arrive à Antibes à 3h. 32 ans, terrassier, Sarde. Egorge d'un coup de serpe sa voisine, la veuve Boyer, 48 ans, ouvrière en soie, le 14 novembre 1854 au 64, Grand'Côte à Lyon, pour la voler. Sur la dernière marche, il s'adresse à la cantonade : "Je meurs, Messieurs, avec franchise ! Berthon est condamné à quinze ans de travaux forcés. Entend la messe avec recueillement. S'exclame alors qu'on le ligote sur la bascule : "A la Toussaint dernière, je ne m'attendais pas à monter là-dessus ! Allume un cigare en montant en voiture, salue la foule sur la route qui conduit au Franc-Marché. 20 ans, ouvrier peintre vitrier. 37 ans, cultivateur. Accepte pour la seule fois les secours du prêtre et embrasse le crucifix. Première exécution capitale d'Henri-Clément Sanson en tant qu'exécuteur en chef. 35 ans, tisserand, forçat à vie. En passant devant l'entrée du quartier des femmes, il attend quelques instants, comme s'il souhaitait voir sortir Rosalie pour l'accompagner à la mort, mais comme rien ne se passe, devient encore plus pâle. Devient bigame en épousant Ann Campbell, de douze ans sa cadette, à qui il fait croire qu'il était veuf. Le 25 octobre 1835, assomme à coups de chaise puis perce d'un coup de fleuret le coeur de son compatriote, l'abbé Juan Ferrer, 60 ans, qui l'hébergeait au 6, rue de la Rotonde-du-Temple, pour lui voler son livret de caisse d'épargne contenant 900 francs et sa montre. "Eh bien, tant mieux : il vaut mieux que ce soit plus tôt que plus tard ! Finit par la convaincre d'empoisonner son époux pour pouvoir l'épouser par la suite, et lui fournit à compter de juin 1861 de l'arsenic blanc pour en "assaisonner" les plats. Reste sans réagir pendant la toilette, doit être porté dans la charrette en compagnie de trois prêtres, se cache le visage et évite de voir les visages des gens dans la rue. Foule immense et bruyante, ne cessant de parler qu'à l'arrivée du condamné. Pendant la toilette, Déchamps pleure : "Mon Dieu ! Par jalousie, tua, le 02 décembre 1859 à Elsenheim, Jeannette, sa fille de 21 ans, en la frappant à la tête à coups de tire-braise et en l'égorgeant avec un couteau de cuisine. Jean-Claude Reynaud est acquitté, André Blayon et Jean-Claude "Roch" Robert sont condamnés aux travaux forcés à perpétuité. Remarié le 21 septembre 1859 avec Appoline-Clémentine Lutembacher, fille d'un tapissier de Beauvais, qu'il commence à battre huit jours après leur mariage, en lui promettant de tant la malmener qu'elle en mourra naturellement ! Demande à voir sa femme, ce qui lui est accordé : celle-ci ne semble absolument pas comprendre ce qu'il va se passser, et pleure un peu. Etranglent dans la nuit du 10 au 11 janvier 1839 à Lautrec Marie Blanc, veuve Carivenc, pour lui voler 17 francs. 32 ans, sans profession. En arrivant à la porte, tombe face à la guillotine : croyant que le supplice aurait lieu à la barrière Saint-Jacques, pris de peur, demande aux aides de le soutenir jusqu'à l'échafaud. Arrive à Peyrehorade peu avant 8h, foule immense. Boit un verre de vin, salue le personnel de la prison. Après plusieurs tentatives judiciaires, s'obstinant et promettant de se venger, tue la veuve Dufour à coups de merlin et blesse grièvement son frère avec la même arme. Battent à mort et étranglent leur père Barthélémy dans la nuit du 17 au 18 juin 1850 entre Comps et Entrevaux parce qu'il refusait de partager entre les membres de sa famille les 84 francs qu'il avait gagnés en vendant de l'huile. La place Ronde, où l'échafaud est resté dressé depuis le matin, est évacuée par deux compagnies militaires, malgré la foule dense. Joanon était un voisin, qui avait courtisé Marie mais avait essuyé un refus; la belle-mère de Chrétien était la tante de Marie ; Déchamps était son cousin germain. Je meurs pour la rémission de mes péchés. Prévenu à 4h par le directeur et l'aumônier. Avant de grimper en voiture, crie aux gendarmes : "Portez armes ! Assassine le 08 janvier 1866, au 54, rue de Ville-l'Evêque - juste au dessus d'un commissariat de police -, Marie-Victorine Bodeux, prostituée. N'ayez crainte, je sais bien que je mérite mon sort !" 33 ans, journalier. Click Add Domain. Braconnier et voleur violent qui n'hésitait pas à rosser les gardes. 45 ans, aubergiste et cultivateur à Frétigney. Accepté dans les rangs des pénitents bleus. 40 ans, journalier. Boit un verre d'eau-de-vie, grignote un biscuit. Ils me mangeront à la sauce piquante !" Réveillé à 5 heures : l'annonce le ramène aussitôt à des sentiments chrétiens, alors que les visites répétées du chanoine Jouen n'avaient rien changé à son aggressivité durant son incarcération - ne parlait que de se venger de ceux qui l'avaient accablé durant le procès, et envisageait de se détruire pour ne pas avoir à être supplicié. Soyez unis, mais pour le bien, et pour le plus grand bien !" Le couteau de la guillotine ne fait aucun mal !". Foule nombreuse malgré l'heure. Assassine à Casseneuil le 05 décembre 1847 son beau-père Barthélémy Daurios en lui brisant la nuque d'un coup de pierre, sa belle-soeur Marie Lescazes, épouse Daurios, à qui il coupe le bras gauche à coups de serpe avant de la défigurer avec la même arme et de tenter de l'étouffer avec des cendres, et sa belle-mère, Marguerite Thoueilles, épouse Daurios, qu'il égorge avec un couteau de boucher, la décapitant presque, pour tenter de leur voler 1200 francs, mais s'enfuyant avant de cambrioler les lieux, effrayé par des passants. Quand les bourreaux font la toilette, rajoute :" Ne craignez rien de moi, je ne vous ferai pas d'embarras, je marcherai seul." Condamné en première instance par les assises de Haute-Garonne, arrêt cassé, recondamné dans le Tarn-et-Garonne. Monte sur l'échafaud avec courage et s'adresse au public. 24 et 21 ans, journaliers, Espagnols. Ses complices, Jacques Châtel, 44 ans, marchand de jouets et Pierre Anceaume, 53 ans, journalier, sont condamnés à mort et graciés. Vole des lunettes, une brosse et des souliers. 33 ans, cultivateur à Saulxures-les-Bulgnéville. Ayant fait connaissance d'Aline Dardare, 20 ans, et prévoyant de l'épouser, assassine trois personnes afin de trouver l'argent pour payer la noce, qui doit avoir lieu le 1er mai 1852. Sort de la prison soutenu par le prêtre, faisant face à la guillotine dressée place Pereyre, à une trentaine de pas de la porte de la prison. Antoine "Patu" Brette et Jacques Edmé Piquet. Son complice Andreas Aristas, condamné à mort, est gracié. Ne les laissez pas s'éloigner du toit paternel, c'est cet abandon qui nous a perdus. Transféré le mardi à 4 heures du matin de Beauvais à Compiègne en voiture. 59 ans, tisserand à Crollon. Le 19 décembre 1839, à Friardel, attaquent M. Legendre au coucher, et le blessent de trois coups de feu dans la tête avant qu'il ne parvienne à s'enfuir pour prévenir les gendarmes. A six heures et demie, demande à déjeuner : mange du boeuf, du pain et du vin, qu'il prend le temps de savourer. Réveillé à 5h par l'aumônier Audemer. 27 ans, tailleur de pierres. Charles-Louis Delvallez et Ambroisine Gosselin, veuve Leblanc. Le 21 janvier 1860, Etienne Feuillâtre, 63 ans, vigneron, à Saint-Jean-la-Ruelle. "Je vais donc être guillotiné ? Décapite de trois coups de hache le 25 décembre 1846 à Dossenheim son ancienne patronne, Marie-Salomé Fix, épouse Klein, enceinte de huit mois, pour forcer une armoire, dérober 90 francs, deux jambons et une paire de bottes. "Cela suffit alors ? 45 ans, laboureur. Malgré les protestations de ces derniers, Besson va chercher son fusil et un couteau, se met en position face à la fenêtre et abat le propriétaire des lieux, Jean-Fortuné Bret, 34 ans, forgeron, sorti sur le balcon pour fumer un cigare. Prise de faiblesse car ne s'est pas alimentée depuis la veille : conduite à l'infirmerie de la prison, y reprend des forces, et passe une partie de la nuit à parler avec l'aumônier Brosse. 23 ans, laboureur. Vous êtes des domestiques. Abat d'un coup de pistolet son camarade Valette, ouvrier terrassier, le 01 août 1859 près du mas de Merle, à Arles, pour lui voler sa montre, qu'il vendit à un militaire. La lutte dure plus de cinquante-cinq minutes et Montcharmont ne cesse de hurler, d'appeler ses parents à son secours et d'embrasser le crucifix sous les yeux épouvantés de la foule silencieuse. Jean "Daube-les-Bleux" Poulain et Julien "Bouin" Louis. Mari et père violent, mais uniquement envers ses filles. Le 13 septembre 1840, à Saint-Pierre-de-Franqueville, entre par effraction chez M.Aubé, propriétaire terrien, l'assassine en l'étranglant avec un mouchoir et en lui enfonçant une épingle dans la gorge puis pille la maison. Réveillé à 3h par l'aumônier. Jean-Joseph Kornemann et Jean-Baptiste Cuny. "Je n'en ai pas besoin... mais je fumerais bien un peu." Affirma qu'elle s'était tuée en tombant d'une échelle par accident. Jugé uniquement pour ce second crime. Je lui en voudrai toujours ! Condamné par la cour d'assises de Bastia le 07 mars 1857 à sept ans de réclusion pour tentative de meurtre : avait, ivre, tiré un coup de fusil sur son voisin Jules Fratacci le 09 mai 1856 à Piétroso, blessant Fratacci à l'épaule. Au cours d'une émeute à Buzançais, initiée par le vol d'un convoi de blé - 1060 décalitres - motivé par la famine, entre le 13 et le 15 janvier 1847, tentent d'assassiner le meunier Cloquemin et les propriétaires Brillant et Gaulin après avoir pillé leurs maisons. Evolutions des sociétés ces dernières années Ci-dessous, l'évolution par an (depuis 2012) des créations et suppressions d'entreprises en France, par mois avec des courbes en moyenne mobile de 12 mois afin de voir l'évolution et les tendances, idem par semaine avec des moyennes mobiles sur 4 semaines. 35 ans, graveur sur métaux. "Romulus" déjà soupçonné d'avoir tué un oncle en le poussant dans les escaliers. Assassina à coups de couteau sa femme Victoire Bouisset, et l'amant de celle-ci, Louis Armengaud, le 17 octobre 1858, qu'il avait "surpris" en pleine action dans le lit conjugal. La tête est retrouvée dans un bois le 18 mai suivant. 56 ans, cultivateur à Saint-André-de-Double (Dordogne). S'agenouille devant l'échafaud, embrasse son confesseur, puis grimpe les marches, le visage livide et tremblant de peur. Prie durant le voyage. Assassine le 28 juillet 1853 à Champrond-en-Gâtines Jean-Louis Chouet, maquignon, à coups de couteau et de bâton, pour lui voler 300 francs. 23 ans chacun, journaliers, prisonniers à la centrale de Loos. PARRICIDE, 26 ans, cultivateur. Donne au gardien-chef son chapelet et sa médaille pour qu'il les remette à son épouse, et demande à l'abbé Corblet d'écrire à sa femme pour l'inciter à mener une vie de foi et de bien élever leur enfant. 38 ans, ménétrier. Le fils est acquitté et la veuve Bousquet est condamnée le 09 décembre 1843 à vingt ans de travaux forcés. "Mais pourquoi pas ici, plutôt qu'à Vendôme, au milieu de ma famille ?" David Le Sénéchal et Françoise-Jacqueline Julienne Roupnel, épouse Le Sénéchal. Priez, priez le bon Dieu pour moi, s'il vous plaît." Enfermé dans le quartier des "incorrigibles", se prend de haine envers deux autres détenus, François Poirel et Antoine Badin. Jette un regard à la foule. Ce sera bientôt vu." Se raidit sur la bascule. Averti de la nouvelle, fond en larmes et perd connaissance. We would like to show you a description here but the site won’t allow us. Se lave avec l'aide des soeurs de Charité, puis distribue ses affaires à ses co-détenues. La voiture va jusqu'à la gare de Laon, et montée sur un wagon, dirigée jusqu'à Château-Thierry à six heures. Se rend, en tenue parricide, à pied jusqu'à l'esplanade du Cagnard, devant les écuries de la caserne militaire. 54 ans, cultivateur à Gré. Garlot, son demi-frère voiturier, Boudin "Jacquot", vigneron, Vernier, maître maçon et Châtelain, domestique, sont tous acquittés. Abat d'une balle dans la tête M.Juge, directeur de l'école normale de Douai, le 24 septembre 1855 au 83, rue d'Enfer, et tente d'abattre également son épouse, la manquant de justesse. 43 ans, sans profession, voleur récidiviste. 49 ans, colporteur, marchand de chiffons. Répondent : "Depuis que nous avons communié hier matin, nous sentons en nous un courage terrible." J'en demande pardon à Dieu et aux hommes, mais je n'ai aucun autre renseignement à donner." Pâle, grimpe les marches soutenu par l'exécuteur et par l'aumônier. Corps rendu à la famille. Tentant par plusieurs escroqueries de faire annuler ce remboursement, finit par assassiner Mazin d'un coup de maillet de menuisier le 07 mars 1868 et enterre le corps dans un champ. Assassine le 16 décembre 1842 à Dugny les frères maçons Jean-Baptiste Gaudron et Xavier Gaudron, ce dernier sourd-muet, en les poussant dans la noue Saint-Nicolas, une mare glacée située au bord de la Meuse ; il frappe de cinq coups de couteau dans le visage Jean-Baptiste qui résistait. Arrivée dans le silence. 22 ans et 21 ans, mendiants, voleurs récidivistes. Très peu de monde présent pour le supplice. La famille entière est cette fois jugée : Marie-Rose Duchemin, 48 ans, est condamnée à vingt ans de travaux forcés, Eugénie à dix ans, Victor à cinq ans et Alexandre, 22 ans, est acquitté. Le 19 décembre, les amants se marient et les rumeurs criminelles se diffusent, et les preuves de l'intoxication par arsenic sont trouvées sur les deux dernières victimes. Prévoyait de faire subir le même sort à sa mère, Perrine Dubreuil, veuve Richard. Utilisation d'une guillotine à panier, comme pour Picot en 1865. Tenta en 1863, le long des fortifications de Paris, de violer une fillette de dix ans qu'il assomma à coups de pierre avant de s'enfuir. Prévenu à six heures, fond en larmes et se jette aux genoux de l'abbé Montès : "Cela n'est pas possible, ce n'est pas moi qui ai empoisonné Pierre, c'est sa femme, sa malheureuse femme qui m'a accusé pour sauver sa tête ! Vous m'avez fait arranger de manière à m'empêcher de courir !" Plus d'exécution à Digne avant 64 ans. Service d'ordre incroyable : au moins 20000 soldats présents, et sept canons selon Victor Hugo ! Quitte la maison d'arrêt en chemise rouge, pieds nus et un voile sur la tête. Dans la nuit du 15 au 16 octobre 1859, tue M.Rolland d'un coup de hachette dans la tempe et Mme Rolland de deux coups, frappés chaque fois si violemment qu'il fait exploser la boîte crânienne, puis achève son travail en décapitant les victimes avec un couteau de cuisine. Pour le voler, le 18 juillet 1846, au Mas-d'Agenais, tue d'un coup de barre de fer dans la tête Barthélémy Lagleyre, garde champêtre, pour le voler puis met son corps dans la métairie de Gachies qu'il incendie pour dissimuler le crime. 30 ans, manouvrier. Sept brigades de gendarmerie. Adding a domain you own to your DigitalOcean account lets you manage the domain's DNS records with the control panel and API. Battent à mort à coups de pied et de poing, au Pont-Douar, commune de Penvénan, le 12 juin 1841, Yves Perron, 68 ans, cultivateur riche, pour lui voler 60 francs, une montre et un mouchoir. "Ah, tu es fâché que je t'appelle bourreau ? Tue de quinze coups de poignard le 11 janvier 1847, aux Bains de Jouvence, 4, rue du Faubourg-Montmartre, Marie Terrisse, épouse Senet, pour lui voler de l'or. Messieurs, vous qui êtes décorés, vous qui connaissez l'Empereur, demandez ! Le 17 avril, à Octeville, s'introduit par effraction chez M. Aubourg et vole 550 francs. A 10h, refuse de fair ela moindre dernière déclaration. PARRICIDE, 25 ans, tisseur en coton à Villers-Outréaux. Réveillé à 4h par l'aumônier et le directeur, s'exclame en patois : "Ah ! 74 ans, fendeur. 34 ans, potier à Feyzin. "Sept heures ? Prié de répondre à d'ultimes questions par le chef de la Sûreté et l'abbé Hugon, réplique : "Vous comprenez bien que ce n'est pas en ce moment que je cacherais la vérité !" Place du Palais de Justice, encombrée de foule, prie une dernière fois à genoux sur l'escalier, puis se laisse faire par les exécuteurs. Arrêté le 04 janvier en Belgique où il s'était réfugié. Planifie une évasion avec deux complices : échoue le 30 juin. Sommé de résider à Reims, où il exerce la profession d'infirmier auxiliaire à l'hospice, se met en rupture de ban en septembre 1859, vagabondant dans la Champagne. Au réveil, proteste : "J'ai volé Boisselier, mais je ne l'ai pas tué, je ne croyais pas qu'on me guillotinerait pour un vol !" Viole au Havre le 14 avril 1866 Hélène Toupin, 12 ans. "Je m'y attendais, je le sentais", dit-il à l'abbé Pauc qui vient le réveiller à 5h.